Notre histoire
Chez LGL, nous sommes fiers de notre origine, de notre histoire et de nos contributions continues à la gestion responsable des ressources naturelles.
À propos de nous
Nos fondateurs
LGL Limited (1971) est nommé après ses trois fondateurs : Aird Lewis (1932−2008), William Walker Hamilton (Bill) Gunn (1913−1984) et John Allen Livingston (1923−2006).
Nos fondateurs ont reconnu le caractère inévitable des activités humaines en expansion dans des régions auparavant non perturbées. C’est pourquoi ils sont convaincus qu’il est essentiel d’utiliser les informations scientifiques pour planifier ces avancées. Ils croyaient aussi que beaucoup pourrait être acquise en travaillant avec les promoteurs industriels pour aider à développer et mettre en œuvre des procédures d’atténuation efficaces, les approches fondées sur la science.
Bien que la nécessité de préserver l’environnement ait toujours été un élément important de l’approche de LGL, notre philosophie a toujours été de travailler avec les agences, l’industrie et les parties potentiellement concernées afin d’identifier les problèmes environnementaux et de déterminer s’ils peuvent être résolus au mieux et de quelle manière. Nous reconnaissons également le rôle que joue notre recherche scientifique en contribuant à l’ensemble des connaissances sur les systèmes écologiques naturels et influencés par l’homme.
Rôle des fondateurs de LGL dans la création de Conservation de la nature Canada*.
Conservation de la nature Canada (CNC) est la principale fiducie foncière environnementale du Canada avec des actifs approchant le milliard de dollars. La publication de 2013 intitulée « A History of the Nature Conservancy of Canada » par Bill Freedman documente le rôle central joué par les fondateurs de LGL Limited dans la formation de CNC. Ce rôle est résumé ci-dessous.
Un groupe de naturalistes de la Fédération des naturalistes de l’Ontario (FNO) a commencé à discuter de la nécessité d’une fiducie foncière pour préserver des terres importantes à travers le Canada. En 1961, un comité de la FON a été créé pour faire avancer le processus. Le comité était composé de six naturalistes éminents : J. Bruce Falls, C. David Fowle, William W.H. Gunn, F. Aird Lewis, Ken Mayall et Walter Tovell. Après de nombreuses recherches et délibérations, Aird Lewis (un avocat) a rédigé un document qui a servi de base à une charte fédérale publiée en vertu de la Loi sur les corporations canadiennes le 28 novembre 1962. Fait important, la nouvelle société avait le statut d’organisme de bienfaisance en vertu de la loi relative à l’impôt sur le revenu, ce qui n’était pas automatique pour les fiducies foncières à l’époque.
Les lettres patentes de la société désignent cinq premiers administrateurs : Antoon de Vos (professeur de zoologie à l’université de Guelph), David Fowle, William Gunn, Aird Lewis et John Livingston. Ces trois messieurs sont le G, le L et le L de LGL Limited. Aird Lewis est resté président du conseil d’administration de CNC jusqu’en 1969, date à laquelle il a démissionné pour occuper le poste de premier directeur général. En avril 1980, William Gunn se retire du conseil d’administration de la CCN. En 1981, la CCN a institué de nouvelles exigences organisationnelles, dont l’une était que le directeur général devait occuper un poste à temps plein, ce qui n’était pas faisable pour Aird Lewis, qui s’est donc retiré de son poste de directeur général. Il est resté membre du conseil d’administration pendant encore huit ans. Depuis lors, les succès de la CCN se sont poursuivis jusqu’à aujourd’hui.
En conclusion, les trois fondateurs de LGL étaient également les administrateurs fondateurs de la Société canadienne pour la conservation de la nature. John Livingston a siégé au conseil d’administration pendant 14 ans, Bill Gunn pendant 19 ans et Aird Lewis pendant 27 ans. Dans l’ensemble, il s’agit d’une contribution impressionnante à la conservation des espaces naturels et de la biodiversité au Canada.
*Source : Freedman, B. 2013. A History of the Nature Conservancy of Canada. Oxford University Press, Don Mills, Ontario. 252 p.